« Il ne sera toléré à quiconque d'imposer ses
opinions par la violence, de traiter autrui de mécréant et de porter atteinte à
tout citoyen tunisien pour ses choix idéologiques ou politiques quels qu'ils
soient », a averti Le président tunisien Moncef Marzouki. Un message
adressé apparemment aux salafistes de plus en plus actifs ces derniers temps.
Mustapaha
Abdeldjalil, représentant du CNT a également menacé de recourir à la force face
aux « autonomistes ». Deux
menaces « démocratiques »
par de nouveaux « ambitieux » qui se sont « glissés » dans les arcanes
politiques. Le premier-cité avait expulsé l’ambassadeur syrien pour enfin
offrir à Bachar l’asile politique au cas
où il quitterait le pouvoir. Le second, tolère l’entraînement de
mercenaires sur le territoire libyen.
Point communs, les deux « acolytes » alignés sur les positions
occidentales n’ont cessé de condamner Bachar pour avoir réagi face à ceux qui,
soutenus par des mercenaires occidentaux, voulaient mettre son pays à feu et à
sang.
Côté occidental, après les transes qui ont
précédé et suivi le double véto sino-russe concernant la crise syrienne, voilà
Berlin qui sort de sa coquille et fait
preuve d’ingéniosité en exhortant l'entourage du président syrien Bachar
el-Assad à rompre avec ce dernier : « Nous les encourageons à le
faire maintenant », a déclaré le ministre allemand des Affaires étrangères
Guido Westerwelle.
Au moment où les regards sont focalisés sur la Syrie,
bonne diversion, le régime sioniste
poursuit ses crimes à Ghaza en toute impunité.
Vendredi 9 mars, les forces aériennes sionistes ont assassiné le leader du groupe « Comité de résistance populaire » Zuhair al-Qaissi et son escorte militaire Mahmoud Hanani. Riposte des palestiniens par des roquettes. « Soucieux », alors, des civils palestiniens, les sionistes ont eu recours à des « Frappes ciblées » (dixit De Villepin) : un dépôt de munitions, ainsi que les endroits depuis lesquels les militants palestiniens effectuent des tirs de roquettes sur Israël. Bilan de ces frappes ciblées : 21 martyrs et des dizaines de blessés.
Vendredi 9 mars, les forces aériennes sionistes ont assassiné le leader du groupe « Comité de résistance populaire » Zuhair al-Qaissi et son escorte militaire Mahmoud Hanani. Riposte des palestiniens par des roquettes. « Soucieux », alors, des civils palestiniens, les sionistes ont eu recours à des « Frappes ciblées » (dixit De Villepin) : un dépôt de munitions, ainsi que les endroits depuis lesquels les militants palestiniens effectuent des tirs de roquettes sur Israël. Bilan de ces frappes ciblées : 21 martyrs et des dizaines de blessés.
Du côté de
la « communauté internationale »- Ligue arabe, Qatar en tête, et les
Occidentaux- aucun souffle sur les crimes sionistes. Ce petit monde, qui sait
distinguer entre les « bons dictateurs » et les
« mauvais », et dont les antennes semblent déconnectées, ne jure que par la chute de
Bachar. « Au diable les Palestiniens » vous rétorqueraient-ils.
Heureusement
qu’en Egypte, Farid Ismael, membre du bureau exécutif du parti Liberté et
Justice a virulemment dénoncé les raids israéliens tout en qualifiant de
honteux le silence des instances arabes et internationales.
Honteux c’est
peu dire pour une « communauté » qui légalise le crime sans aucun
scrupule.
Outre la Palestine, signalons également, La tragédie qui s'est produite à proximité du village de Zangabad situé dans le district de Panjwai en Afghanistan. Dans la nuit de dimanche dernier, un soldat américain est entré dans des maisons, tuant 16 civils, dont neuf enfants et trois femmes, et ce, en sus de l'incinération d'exemplaires du Saint Coran à la base américaine de Bagram.
Outre la Palestine, signalons également, La tragédie qui s'est produite à proximité du village de Zangabad situé dans le district de Panjwai en Afghanistan. Dans la nuit de dimanche dernier, un soldat américain est entré dans des maisons, tuant 16 civils, dont neuf enfants et trois femmes, et ce, en sus de l'incinération d'exemplaires du Saint Coran à la base américaine de Bagram.
Au nom de quoi ? De ces prétendues
« valeurs démocratiques exportables » ? Aucune
condamnation, bien sûr. Les perroquets souffriraient-ils d’aphonie ?
Apparemment oui. Exception faite de
l’ambassadeur britannique à Kaboul qui n’a trouvé que la reconnaissance de
l’échec de l’Occident en Afghanistan. Echecs sur tous les fronts, depuis quand
la colonisation a-t-elle réussie ?
Chérif Abdedaïm
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